Dans les années 1930, un barbier juif, sosie du dictateur de la Tomagne, tente d'éviter la persécution.
« Il est intéressant de penser que l'avènement de la parole dans The Great Dictator, et à plus forte raison celle qui produit le discours final, met fin à la tradition du cinéma burlesque américain. Avec Charles Chaplin, le clown substitue peu à peu une volonté de divertir libre de toute contrainte à un devoir moral de plus en plus mesuré. Le rire ne fait plus trembler, il soigne. »
— Philippe Théophanidis (revue Séquences)