Comme « il ne leur restait plus d'Ukrainiens... », ce sont plutôt des réfugiés syriens que doivent accueillir les habitants d'un petit village breton. La nouvelle tournure de ce projet humanitaire, mené par une institutrice bien-pensante (incarnée par la cinéaste elle-même), trouve notamment un opposant au conseil municipal (Laurent Lafitte, en plombier raciste). Une fable politique avec Sandrine Kiberlain en commerçante de province très portée sur l'apéro.